J'avais 7 ans quand j'ai commencé à regarder les premières pièces de théâtre. C'était à la télévision, le vendredi soir », se souvient Laurence Bienassis, comédienne de la
Maisvers la fin il y a eu des danses et ça c'était le moment que j'ai le plus aimé. Il y avait des danses turques et espagnoles. C'était plutôt drôle. Le moment que j'ai beaucoup aimé c'est quand la fille et le Turc se marient et que tout le monde était amoureux dans la pièce ! Nassima » « J'ai adoré cette pièce. J'ai trouvé ça
Cétait quand la dernière fois ? Comédie. Quoi de plus efficace pour régler un problème que de s’en débarrasser définitivement ? Onex, Spectacles Onesiens - Salle Communale, Voir la map. De 20.00 à 48.00 CHF. à 20h Durée:
Cétait quand la dernière fois ? (Comédie) - du samedi 20 janvier 2018 au samedi 31 mars 2018 - Théâtre Tristan Bernard , Paris , 75008 - Toute l'info sur l'evenement
Lespectacle a été joué pour la première fois à la Comédie Caumartin il y a un an, puis au Point Virgule avant d’être présenté cet été au théâtre Michel. Il a été couronné d’un franc succès lors de sa création en 2011 par Eric Assous (récompensé à deux reprises par le Molière du meilleur auteur francophone en 2010 et 2015). Cette nouvelle version est tout aussi
Cétait quand la dernière fois ? - Théâtre Tristan Bernard Europe France Île-de-France Paris Paris - Activités Théâtre Tristan Bernard Théâtre Tristan Bernard Est-ce votre établissement? 37 avis Nº 581 sur 3 386 choses à voir/à faire à Paris Concerts et spectacles, Théâtres 64 rue du Rocher, 75008 Paris, France Enregistrer Points forts des avis
Cétait quand la dernière fois ? Synopsis; Casting; Année de production : 2019; Genre : Théâtre ; Durée : 105 min. Synopsis . Lors d'un dîner qui promettait d'être aussi morne que les
Publiéle 25/07/2022 à 17:00. La passation entre Olivier Py et Tiago Rodrigues a eu lieu le 24 juillet à Avignon. Christophe Raynaud de Lage /
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A Moscou, le Centre Gogol, théâtre transformé en nid de liberté par l'artiste aujourd'hui exilé Kirill Serebrennikov, a joué jeudi soir son dernier spectacle "Je ne fais pas la guerre."Des mots qui résonnent, dans le contexte de l'assaut russe en cours depuis plus de quatre mois contre l'Ukraine et qui a entraîné en Russie un nouveau tour de vis contre ceux qui ne pensent pas comme le salle est pleine, l'émotion forte, les applaudissements s'enchaînent. Sur scène, les acteurs interprètent des textes du poète et ancien soldat Iouri Levitanski 1922-1996, très apprécié de l' titre est tiré d'un vers emblématique "J'ai presque tout oublié, je veux tout oublier. Je ne fais pas la guerre, la guerre se fait en moi". Avant la représentation, des spectateurs ont déposé quelques roses devant le théâtre aux murs blancs, comme à des funérailles. "Ils ferment tout, ils bloquent tout", déplore Daria Kojevnikova, une enseignante de 36 ans. Elle marque une pause, puis un étrange sourire traverse son visage couvert de taches de rousseur "On sera bientôt tous enchaînés." Le directeur artistique du centre Gogol Alexeï Agranovitch G, qui avait remplacé en février 2021 son directeur historique Kirill Serebrennikov, éjecté de son poste par le pouvoir, après la dernière représentation, le 30 juin 2022, de ce théâtre fermé par les autorités / AFP Alors qu'un nouveau rideau de fer s'est abattu entre la Russie et l'Europe, le pouvoir russe accélère sa répression contre toute critique de l'offensive en Ukraine. A coup de fermetures d'organisations, d'amendes et de peines de maintenant au tour du Centre mairie de Moscou a annoncé que le théâtre, une scène municipale, allait changer de direction à la rentrée et retrouver son nom d'antan - Théâtre dramatique Nikolaï Gogol - celui d'avant l'ère Serebrennikov, quand on y jouait des pièces bien plus autre théâtre moscovite réputé, le Sovremennik, va aussi changer de direction. - "Symbole de liberté" -Entre 2012 et 2021, Kirill Serebrennikov a été le directeur artistique du Centre Gogol et en fait un pilier de la vie culturelle russe. On y montait des pièces endiablées mêlant performance, critique sociale, sexualité. On y invitait des artistes étrangers."C'est un endroit où ils avaient réussi à mêler la modernité, la mode et l'art. Un endroit qui montrait aux jeunes que c'est cool de faire de l'art", témoigne Alia Talibova, une Moscovite de 39 ans venue au dernier la dernière représentation, le 30 juin 2022 à Moscou, du Centre Gogol, théâtre connu pour son indépendance et fermé par les autorités, une spectatrice se fait prendre en photo tenant une pancarte disant "Je ne fais pas la guerre", ce qui est également le titre de la pièce jouée ce dernier soir / AFP En février 2021, Serebrennikov avait été éjecté de son poste, quelques mois après avoir été condamné dans une affaire de détournements de fonds dénoncée comme une punition du pouvoir. L'un de ses collaborateurs, Alexeï Agranovitch, avait pris le relais, avant d'être lui-aussi remercié cette semaine."C'est injuste, ça fait très mal et ça ne devrait pas arriver, surtout au XXIe siècle quand on prétend avoir un pays et une société civilisés", affirme à l'AFP Ilia Vinogorski, un acteur de 22 ans présent jeudi au Centre Gogol."Serebrennikov, c'est un symbole de liberté", abonde Liza Maximova, une étudiante de 19 ans. "C'est avoir le choix de parler de ce qu'on veut, de parler de l'être humain, de ce qui est important pour nous."Après le spectacle, des spectateurs boivent dans la pénombre un dernier verre dans le café du Centre Gogol. D'autres se prennent en photo en tenant un panneau où est écrit "Je ne fais pas la guerre."Opposé au conflit en Ukraine, Kirill Serebrennikov a quitté la Russie fin mars et vit désormais en exil en Allemagne. Cruel contraste, il met en scène en juillet le spectacle d'honneur du festival d'Avignon, dans le sud de la France, le plus grand festival de théâtre au monde. Dès l'annonce du remaniement du Centre Gogol, il a dénoncé "le meurtre" de son projet artistique. Puis il a pris la parole pendant la dernière représentation du Centre Gogol, par visioconférence, depuis la Cour d'honneur du Palais des Papes à Avignon. "Nous sommes des gens pas du tout agréables pour le pouvoir", a-t-il lancé à son public. "Mais on va vivre longtemps et j'espère qu'on verra, un jour ou l'autre, la fin de la guerre et le début d'une belle Russie tournée vers l'avenir."video-bur/ia
Cet automne, à l’Usine C, en co-présentation avec l’Agora de la danse, Virginie Brunelle dévoile sa nouvelle pièce, À la douleur que j’ai. C’est l’occasion d’une incursion avec la chorégraphe dans son esthétique scénique à contre-courant, de ses débuts bruts et frondeurs à une introspection affranchie. Des ceintures suggestives de Foutrement 2010 aux attractions-répulsions fusionnelles en tutu de Complexe des genres 2011, Virginie Brunelle a su se hisser au premier rang d’une génération de créateurs audacieux avec son talent à générer des images-chocs et son détournement des codes de l’érotisme. Aux côtés de Dave St-Pierre et de Frédérick Gravel, la chorégraphe figure parmi les représentants d’une jeune scène québécoise qui, par sa force de provocation, repousse les limites de l’art chorégraphique contemporain voir le film documentaire Aux limites de la scène de Guillaume Paquin, 2012. Interrogeant les rapports de domination présents au cœur des relations amoureuses et confrontant le spectateur aux clichés et aux contraintes rattachés aux genres, les premières chorégraphies brutes de Virginie Brunelle ont su captiver l’attention à l’étranger. Aujourd’hui, ces problématiques de genres et de dominations s’estompent dans mon esthétique. J’essaie même d’aller à leur opposé», affirme-t-elle. Sa dernière œuvre, Plomb 2013, marquait déjà une rupture avec l’esthétique turbulente qu’on lui connaissait. Sandra-Lynn Bélanger Un univers à soi La jeune chorégraphe ayant été parrainée à ses débuts par Dave St-Pierre, la critique n’a pas manqué de souligner la filiation et les correspondances de leurs démarches, ce qui semblait fatalement poursuivre Virginie Brunelle. Quand Dave est entré en contact avec moi, c’était à la fin de mes études, pendant la création de ma première pièce, Les Cuisses à l’écart du cœur, une œuvre sur l’hypersexualisation. Il y avait quelque chose de plus cru que dans mes autres pièces, c’était provocateur. Une critique avait même dit que j’étais l’enfant illégitime de Dave St-Pierre et de Daniel Léveillé. Sur le coup, j’ai trouvé ça super, parce que j’aime ces deux artistes… sauf qu’à un moment donné ça te colle à la peau. Certes, on a des thèmes similaires, mais en même temps si on regarde plus largement, toute notre génération parle de cette difficulté d’entrer en relation les uns avec les autres et de l’incommunicabilité. Les comparaisons sont flatteuses, mais, pour moi, l’univers de Dave et le mien sont totalement différents.» Dans Plomb, confie Brunelle, j’essayais d’aller vers une image cinématographique. Mais, à vrai dire, je n’étais pas satisfaite de cette pièce, alors qu’étrangement c’est celle qui a eu les meilleurs critiques locales. La faille de cette création, c’est que je n’ai pas réussi à trouver le lien entre chaque tableau. Les contraintes étaient un peu trop grandes, et je me suis restreinte dans le processus créatif.» Pourtant riche de cette expérience lui ayant permis de sortir de la dynamique du duo, elle passe maintenant de neuf à six interprètes dans sa nouvelle pièce, une composition centrée sur les mouvements de groupe. Isabelle Arcand, Claudine Hébert, Sophie Breton, Peter Trosztmer, Chi Long et Milan Panet-Gigon seront les membres de ce portrait de famille, image centrale de cette œuvre à la charge nostalgique et mélancolique. Ce qui ressort à ce moment de la création, c’est le lien avec l’autre qui ne cède jamais vraiment. Il est très présent dans mon travail et devient même une métaphore, le “métabolisateur” d’une émotion intime et intense.» Mathieu Doyon Une théâtralité du quotidien Ayant participé à la création de 2050 Mansfield 2014, un projet in situ mené par la 2e Porte à Gauche, Brunelle avait déjà pu jouer aux frontières de la danse et du théâtre auprès du dramaturge Olivier Kemeid. S’associant cette fois Stéphanie Jasmin pour la dramaturgie, elle parle d’un véritable coup de foudre. Une collaboration-clé pour À la douleur que j’ai, où elle voulait faire émerger une certaine théâtralité, bien que ce soit avant tout le travail du corps qui l’intéresse Contrairement à Plomb, où je voulais faire du théâtre et où j’avais un comédien, dans cette pièce, j’essaie de retrouver quelque chose de plus simple. Je laisse émerger plus subtilement et naturellement la théâtralité qui est en moi. J’aime beaucoup travailler avec des images fortes et symboliques, proches du quotidien. Des moments qui sont une référence pour tout le monde et peuvent ressembler à des scènes théâtrales.» Pour cette violoniste de formation, la musique joue un rôle de premier ordre aussi bien sur scène que dans la composition de ses partitions chorégraphiques La ponctuation, les nuances, les crescendo, les points d’orgue… Il y a une forte similitude entre la création musicale et ma façon de créer en studio.» Mathieu Doyon De la découverte du poème romantique Soir d’hiver d’Émile Nelligan, la chorégraphe a retenu un vers pour son titre. Dans sa recherche sur le thème de la douleur auprès des interprètes, l’accessibilité à leur fragilité et à leur vulnérabilité est essentielle C’est un hommage à la douleur, parce que je me rends compte que c’est vraiment ça qui m’inspire. C’est comme si je lui portais un toast, je la remercie d’être un peu présente, de nous transformer et de nous rendre sensibles et humains. Sur le plan de la chorégraphie, j’ai un vocabulaire au diapason, des mouvements d’opposition entre torpeur et immobilité très présents, comme si des traces restaient figées sur des photos.» Puisant son inspiration dans la musique, le théâtre et à l’occasion dans la poésie, Virginie Brunelle se tient à distance des travaux des autres chorégraphes pour éviter de se censurer et de se comparer. Elle cite plus volontiers parmi ses influences le groupe Dear Criminals, avec qui elle imaginerait bien une future collaboration. En s’éloignant de la provocation et de l’effet-choc des premières créations de la chorégraphe, cette nouvelle écriture sous le signe de la douleur, bien que celle-ci soit plus tempérée, semble néanmoins garder le côté écorché vif et romantique qui séduit tant paradoxalement son esthétique. À la douleur que j’ai Chorégraphie Virginie Brunelle. Éclairages Alexandre Pilon-Guay. Son Jean Gaudreau et Virginie Brunelle. Dramaturgie Stéphanie Jasmin. Avec Isabelle Arcand, Sophie Breton, Claudine Hébert, Chi Long, Milan Panet-Gigon et Peter Trosztmer distribution originale. Une coproduction de la Compagnie Virginie Brunelle, du Centre national des Arts et du Fond de création du réseau CanDanse. À la Maison des arts de Laval le 8 février 2018. Au Theater Junction Grand Calgary du 8 au 11 mars 2018. À Méduse, dans la programmation de la Rotonde, du 14 au 16 mars 2018. AU CC de l’Université de Sherbrooke le 21 mars 2018. Au Centre national des Arts Ottawa du 6 au 8 avril 2018.
Source Wikipédia Le théâtre Théâtre nom masculin à l'origine le théâtre theatron est l'endroit d'où l'on voit ce sont des gradins, en somme. Aujourd'hui, le théâtre désigne un lieu dans lequel on représente un spectacle, une pièce de théâtre par exemple. Personnages nom masculin les acteurs interprètent un rôle. Une personne joue donc un personnage. Chez Molière, ce sont souvent des bourgeois, des aristocrates, des pères de famille, des femmes, des valets, des médecins, etc. Metteur en scène nom masculin une pièce de théâtre n'est pas vraiment faite pour être lue, mais pour être jouée. Le metteur en scène dirige les acteurs leur dit où se mettre, que mettre, comment dire le texte, choisit les décors, etc. Intrigue nom féminin c'est l'ensemble des événements qui forment le nœud d'une pièce. C'est l'action, l'histoire. Nœud nom masculin c'est le cœur de l'action quand tous les événements se mêlent et que l'on se demande comment l'histoire va se terminer. Dénouement nom masculin l’intrigue se termine par le dénouement, lorsque tous les nœuds sont dénoués. C’est donc la fin de l’histoire. La construction d'une pièce Acte nom masculin une pièce de théâtre est divisée en différentes parties que l’on appelle des actes. Il existe des pièces en un seul acte, certaines en ont cinq. À l’origine, la longueur de l’acte correspondait à la durée de vie des bougies disposées pour éclairer la salle une vingtaine de minutes environ. Scène nom féminin un acte est lui-même divisé en scènes. En principe, on change de scène quand un personnage entre ou sort de la scène. Scène d'exposition nom féminin la scène 1 de l’acte I est appelée scène d’exposition. On y expose rapidement l’intrigue, les personnages, l’essentiel de ce qui est nécessaire à la compréhension de la pièce. L'écriture d'une pièce Dialogue nom masculin le texte d’une pièce de théâtre est composé de dialogues. Ce sont des personnages qui se parlent. Il n’y a donc pas de narrateur. Réplique nom féminin paroles qu’un personnage dit en réponse aux paroles qui lui sont adressées lors d’un dialogue. Didascalie nom féminin phrases souvent en italique. Elles ne doivent pas être dites par le personnage. Ce sont des indications données par l’auteur sur la manière dont la pièce doit être jouée quel geste doit faire le personnage, sur quel ton il doit dire telle réplique, etc.. Monologue nom masculin quand, dans une scène, un seul personnage parle, c’est un monologue mono- veut dire un. C’est le contraire de dialogue. Le genre de la pièce Comédie nom masculin pièce de théâtre divertissante se terminant généralement bien. Les personnages en sont le plus souvent des bourgeois, des valets... Si la comédie divertit, elle instruit parfois en nous montrant une image du monde dans lequel nous vivons. Tragédie nom féminin contrairement à la comédie, la tragédie se termine en principe mal. Les personnages en sont des rois, des reines, toutes sortes de héros. Elle se termine mal. Ce qui arrive aux personnages doit nous inspirer la terreur et la pitié. Commedia dell'arte nom féminin c’est une forme de théâtre pratiquée par des comédiens italiens professionnels. L’intrigue représentée est drôle, ponctuée de gags des lazzi. Les acteurs doivent improviser, car le texte n’est pas entièrement rédigé. Farce nom féminin c’est l’ancêtre de la comédie. Au Moyen Âge, la farce met en scène souvent sur de simples tréteaux dans la rue des personnages comiques qui ont beaucoup inspiré Molière le mari cocu, le naïf, le rusé.... Partager À voir également Les théâtres de Paris Le Médecin volant Le Bourgeois gentilhomme de Molière, Acte II scène 4 extrait Les Fourberies de Scapin de Molière scène VII Rire avec Molière 5e
c était quand la dernière fois pièce de théâtre